lundi 18 avril 2011

Bienvenue à vous Mr Davis

Le vendredi 4 mars 2011, on a été voir les matchs de tennis comptant pour la coupe Davis, vous savez cette compétition de tennis où s'affrontent des équipes nationales. Ce week-end ci, la sélection d'Argentine recevait l'équipe de Roumanie. La rencontre s'est déroulée sur 3 jours (vendredi, samedi et dimanche), mais on a été uniquement le vendredi. Les matchs ont eu lieu au Parque Roca, on vous en avait déjà parlé, cette enceinte qui peut accueillir 15000 personnes, où nous avions été en janvier pour écouter (et voir) un concert de rock national (argentin) dans le cadre de "la ciudad en aire libre" (la ville à l'air libre), période durant laquelle (l'été austral) la municipalité proposait diverses activités gratuites dans Buenos Aires.
Un copain du badminton, Pablo, qui devait aussi y aller avec son frère (Javier), m'a proposé de nous amener en voiture. On a accepté; le rendez-vous était à 8h30 (donc j'vous laisse imaginer l'heure du réveil... pour aller voir un match de tennis...). On arrive au stade vers 10h, alors que la rencontre doit commencer à 11h. On prend les paris, que ça commencera à l'heure argentine, c'est à dire avec beaucoup de retard. Moi, je suis assez sceptique, c'est quand même un évènement international, qui doit être diffusée à la télé et dans de nombreux pays. Quand on pénètre dans l'enceinte, on est assez bluffé. ils ont fait ça en grand, avec des stands de partout, représentant toute les marques et sponsors, avec distribution de p'tits cadeaux, des affiches énormes à l'effigie des joueurs et aux argentines, un écran géant et plein d'endroit où se restaurer. Cela ressemble beaucoup à ce que j'ai eu l'occasion de voir lors des championnats du monde de badminton, ou encore au stade de France (pour voir un match du Top 14 de rugby).
Pour ma part, je suis venu en parfait supporter, avec sur le dos les couleurs "albicelestes" (bleu ciel et blanc). En fait j'avais enfilé mon maillot de l'équipe national d'Argentine de football.  
On entend du bruit dans le stade, ce qui signifie que les hostilités commencent. On monte et trouve nos places. La fanfare joue des airs en attendant le début. Au fait, ça a commencé à 11h pile, avec l'entrée des joueurs, accompagnés des drapeaux argentin et roumain. Ensuite, on a eu droit aux hymnes nationaux joués par la fanfare.
Le Parque Roca

En parfait supporter, avec Jaun "Pico" Monaco 

Les drapeaux

La fanfare


Les chose sérieuses peuvent commencer. Aujourd'hui on aura droit à 2 parties de simple. L'équipe d'Argentine est composée de David Nalbandian, Juan "Pico" Monaco, Juan Ignacio Chela et Eduardo Schwank. Celle de la Roumanie se compose, elle, de Victor Hanescu, Victor Crivoi, Adrian Ungur, et le 4ème je ne le connaît pas (désolé pour lui).
Au début les gradins ne sont pas très remplis, ça sonne un peu creux. Mais ça va se remplir assez vite, peu de temps après le début des rencontres.
Le premier match oppose David Nalbandian à Adrian Ungur, et pour ceux qui connaissent un peu le tennis, vous savez que c'est une vrai star en Argentine. L'attente du public est donc très forte à son égard, et l'ambiance commence à monter tout doucement. Le match commence, ça joue pas mal, le spectacle est au rendez-vous, le stade est maintenant bien rempli, et tous, à l'exception de quelques roumains, sont derrière leur équipe nationale. L'Argentine accueille sur terre battue, l'occasion de voir de belles glissades et de me rendre compte que le terrain est arrosé et nettoyé à chaque changement de côté. David Nalbandian gagne le 1er set, et c'est de la folie. Les chants montent dans les travées, à coup de "olé, olé, olé... David, David"; ou encore "vamos, vamos Argentina, vamos, vamos a ganar" (allez l'Argentine, allez pour gagner).
En ce qui nous concerne, on est dans les tribunes, et on essaie de vivre l'ambiance à fond. Mais le match ayant commencé vers 11h30, le soleil se montre de plus en plus coriace avec nous. Le stade n'est pas couvert, et franchement il faisait chaud. Ce jour-là il a dû faire 32° et par moment nous avons eu l'impression de cuire sur place. Mais bon, une bonne bouteille d'eau fraîche, et on profite du spectacle. Un pauvre vendeur ambulant qui proposait sans faire le moindre bruit, des glaces et de l'eau fraîche, s'est fait malproprement jeté hors du stade par un vigile, alors que nous, on aurait bien eu besoin de ses services, durant les moments les plus chauds de la journée. Cora avait plus de chance que moi, elle avait un chapeau genre tango sur la tête que lui avait prêté Virginie.
Bref, sur le terrain cela se passe plutôt bien pour les argentins. David Nalbandian après un match plus difficile que prévu (victoire de Nalbandian: 6-3/6-2/5-7/6-4) apporte le premier point à l'équipe d'Argentine. Le public est fou, ça chante de tous les côtés, et on a même eu droit à l'interview en live de David Nalbandian, directement sur le terrain juste après son match. 
On avait amené des sandwichs qu'on a mangé peu avant la fin du match, et entre les 2 parties, on est descendu pour nous dégourdir les jambes et trouver autre chose à grignoter.
Là, c'était à demi-plein

David Nalbandian

Arrosé ...

Puis, nettoyé ... 

Le pauvre vendeur, et après on a eu très soif

Il faisait vraiment chaud !!

Quel look d'enfer !!

Le score final


Le second match de la journée met en opposition Juan "Pico" Monaco (pour l'Argentine) et Victor Hanescu (le n°1 roumain). 
Ainsi après avoir fait un p'tit tour dans les allées du Parque Roca, cherché quelque chose à grignoter et fait les boutiques (d'ailleurs Cora m'a fait un très beau cadeau, elle m'a offert le maillot officiel de la sélection nationale d'Argentine de tennis), on remonte pour suivre la deuxième partie (moi d'abord et Cora un peu plus tard, c'est d'ailleurs dans ce laps de temps qu'elle m'achètera ma surprise). 
Lors de ce match, l'ambiance sera toujours aussi chaude et le soleil, lui, bien plus chaud. Les cris et chants sont maintenant: "olé, olé, olé ... Pico, Pico" (Pico étant le surnom de Juan Monaco, mais personne n'a pu nous dire ni pourquoi, ni d'où ça lui a été attribué). Le match, lui, a connu 2 phases; une première assez serrée, et une seconde complètement à l'avantage de "Pico" Monaco. Après le gain du premier set, le stade est totalement fou, ça crie de partout, le deuxième set est, lui, complètement à l'avantage de Victor Hanescu, qu'il gagne 6 à 1. Le public s'étant un peu assoupi durant cette déculottée, reprend de plus belle les encouragements à l'intention de son joueur. Et cela a pour effet de fonctionner, car le joueur local, l'emporte ensuite, de manière fulgurante. Il remporte les deux sets suivants en moins d'une heure, démotivant totalement son adversaire. La fin du match s'est avérée donc, assez ennuyeuse. Juan "Pico" Monaco remporte le match sur le score de 7-6(7-5 au tie break)/1-6/6-1/6-1. Le stade est en feu, et comme lors de la première rencontre, on a eu droit à l'interview en live du gagnant. 
Après cela, on est parti assez rapidement, ayant rendez-vous avec Pablo (ce dernier veut éviter au maximum les embouteillages), qui nous a rapproché sur Buenos Aires.
Après la première journée de compétition, l'Argentine mène 2 à 0 et tous le monde est content (sauf les pauvres roumains), et cela peut se voir sur le sourire des gens. Cette journée fût ainsi très intéressante, surtout pour moi, grand fan de sport, très chaude aussi, dans tous les sens du terme. Et en plus j'ai vu jouer une de mes idoles, donc que peut-on demander de plus.
Dans les travées du stade


Juan "Pico" Monaco

Victor Hanescu


Au revoir, à la prochaine

Pour la p'tite histoire, le double argentin gagnera assez facilement le lendemain et qualifiera son équipe pour le tour suivant, le score final, à l'issue des matchs du dimanche, sera de 4 à 1 pour les Argentins.
M.L.

mardi 12 avril 2011

Les cataratas d'Iguazù

Cela fait déjà quelques jours que Pascale (la mère de Cora) est parmi nous. Très exactement six jours, elle est arrivée à Buenos Aires dans la soirée du samedi 12 février pour rendre visite à sa fille, qu'elle n'avait plus vu depuis environ 5 mois.
Ce jeudi 17 février, nous nous rendons aux alentours de 18 heures à la gare routière de Retiro, afin d'y prendre le car. Nous nous rendons aux chutes d'Iguazù (ces fameuses chutes qui se situent à la frontière entre l'Argentine et le Brésil), en passant à l'aller par la province de Misiones. Nous avons opté pour un car "cama" ("lit"), où nous avons passé la nuit et il a été assez confortable (quasiment comme dans un avion, voire mieux), avec au menu plusieurs films, un dîner et du Champagne ou du whisky pour accompagner le film.

Ce vendredi 18 février, après avoir passé la nuit dans le car, nous arrivons vers 8h30 à Posadas. Juste le temps pour nous de nous dégourdir les jambes, et de là nous prenons un bus pour San Ignacio. Environ une heure et demi de car plus tard, nous arrivons à San Ignacio, une p'tite bourgade où se situe une des missions jésuites de la région. Nous y allons pour la visiter.
La mission jésuite de San Ignacio est paraît-il celle qui est actuellement la mieux conservée. Elle est composée d'un musée et des ruines et vestiges de la mission elle-même. Cette visite fût relativement intéressante, on a pu se faire une idée de la vie, du fonctionnement et des activités qui pouvaient exister au sein de cette société ecclésiastique. De plus les bâtiments sont en effet très bien conservés, à des endroits nous supposons que ça a été rénové, et le rouge vif de la grande porte nous a paru magnifique.

Le musée

A l'intérieur du musée


Ce rouge !!! 


Cora & Pascale posent devant un cactus géant
Nous y avons fait le tour en 2 p'tites heures. Ensuite nous avons été déjeuné dans une pizzeria juste en face de la mission jésuite, et il s'est avéré que les pizzas furent sans intérêt particulier, pas du tout comme celles de Gualeguaychu (si vous avez lu l'opus précédent, vous savez qu'il y a une vraie pizzeria là-bas, qui propose d'énormes et savoureuses variétés de pizzas).
En attendant les pizzas ...
Ensuite, vers les 15h30/45, nous avons repris le car (et nous voilà repartis pour environ 5 heures de route), cette fois-ci en direction de Puerto Iguazù. Nous y sommes arrivés vers 20h30, et avons découvert une petite commune à la vie tranquille, au climat tropical où tout y fait référence aux chutes. Nous avons découvert notre auberge (hostel park), un petit lieu, avec juste ce qu'il faut, pas d'extra, pas de paillette, mais tout à fait propre et en plus avec la clim, que demander de plus.
L'hostel park
Le Samedi 19 février
Ce matin-ci, les filles se sont levées avant moi et ont pris leur petit déjeuner pendant que je ronflais encore. Le programme était de nous rendre au parc national d'Iguazù, du côté argentin. Nous avons pris le bus vers 10h30 à la gare routière et environ un quart d'heure plus tard, nous sommes arrivés au parc. Une fois sur place nous nous retrouvons à la fois sur un site fabuleux, verdoyant, mais aussi sur un site super commercial et touristique où tout est payant (et relativement cher). Juste l'entrée nous coûte 100 pesos. Heureusement pour nous, que nous avions acheté nos sandwichs auparavant!
L’intérêt principal du parc est de voir les chutes d'Iguazù, et franchement nous ne serons pas déçus, nous allons voir des sites naturels magnifiques, et surtout beaucoup d'eau (de l'eau et encore de l'eau ...). Mais le parc propose aussi des visites de la faune et la flore dans la forêt tropicale, des randonnées et de nous pouvons à travers les sentiers du parc nous avons pu admirer et côtoyer (sans les toucher) de près les animaux qui sont en liberté dans le parc. Avant de pouvoir apercevoir les chutes nous avons ainsi pu voir des animaux qui nous étaient inconnus pour certains ou d'autres que nous n'avons pas l'habitudes de voir en vrai. Nous avons pu apercevoir (et parfois même de très près) des couatis (sorte de petit rongeur), un agouti (en toute fin de journée), des somptueux papillons (certains avaient comme des chiffres inscrits sur leurs ailes), une énorme tortue, des lézards, des toucans et autres oiseaux, un singe (juste aperçu dans les arbres) et certainement que j'en oublie d'autre. Et bien sûr c'était bien mieux qu'au zoo, le fait de voir ces animaux en liberté se balader parmi nous, voire même quasiment nous demander quelque chose à manger.
Cora & sa maman à l'entré du parc

Un papillon 88

Un couati

Non !! Je n'ai rien à manger pour vous


Un agouti (spéciale dédicace pour ma couzine Titelle)

Enfin nous arrivons face à ce qui nous a amené ici. Nous voyons enfin de l'eau, et surtout nous l'entendons. Le spectacle qui s'offre à nous est fantastique, certes redondant mais d'une beauté exquise et surtout cela nous montre la force de la nature. Il est vrai que, la force avec laquelle coule l'eau, rend le spectacle d'autant plus impressionnant. De ce côté-ci des chutes (le côté argentin) le clou du spectacle est la "Gorge du Diable"(Garganta del Diablo). Il nous a fallu traverser une passerelle d'environ 1300 mètres, en plein soleil (heureusement avec des pauses), pour y arriver (en fait nous marchons au dessus de la rivière Iguazù). A cet endroit, je vous laisse imaginer la force de l'eau. Elle provoque une rosée permanente dans l'air, ce qui favorise une végétation toujours verdoyante et luxuriante. Et en plus de cela, il y a en permanence des arcs en ciel (quand il fait beau, bien sûr!). Nous en avons vus beaucoup durant cette journée, des énormes, des plus petits, tous plus beaux les uns que les autres. 
Nous avions la possibilité de faire un tour de bateau, mais ceci n'est pas rentré dans notre budget, et  nous avions déjà eu l'occasion de prendre la douche, ce que j'entends par là, c'est de nous rapprocher de suffisamment près des chutes pour être tout mouillés. A l'aller et au retour de la "Gorge du Diable" nous avons fait une promenade  en p'tit train (en réalité juste le temps du chemin), et ce ne fût pas une mauvaise idée, puisqu'un orage s'est abattu sur nous quelques minutes plus tard (au retour).
Cora & Pascale

Cora & Miguel



Elle était longue, la passerelle !!

On arrive à la "Gorge du Diable"

La "Gorge du Diable"

Pascale et "le Diable"


Toute mouillée

Un des nombreux arc-en-ciel

Dans le mini train
Et encore une p'tite chose, pendant notre séjour dans cette région du nord-est argentin, nous n'étions pas seuls, nous avons été en compagnie du "Paradisier", un roman de Frédéric CLEMENT, un auteur français. Ces fans peuvent lui rendre hommage et lui donner une certaine notoriété en faisant voyager son livre.
"Le Paradisier" à la "Gorge du Diable"

Dédicace pour Pascale !! 
Buenos dias Brasil
Le dimanche 20 février
Ce jour-ci après avoir dévoré notre petit-déjeuner, nous nous sommes rendus au Brésil. Plus précisément, nous retournons encore aux chutes d'Iguaçu, mais cette fois-là du côté brésilien. Nous ne sommes pas restés longtemps sur le sol brésilien, environ une demi-journée, le temps de visiter les chutes et de faire l'aller-retour. Ce fût également l'occasion de prolonger notre visa, le passage en douane n'étant obligatoire pour sortir du territoire mais indispensable pour y rentrer. 
Nous avons pris le car à la gare routière de Puerto Iguazù (en Argentine) en direction de Foz do Iguaçu (au Brésil - ça peut aussi s'écrire "Iguassu"). Nous y sommes arrivés vers les 11h-11h30, mais comparativement au côté argentin la veille, la queue s'est avérée être beaucoup plus longue. En conséquence nous avons pénétré assez tardivement dans le parc, il était déjà midi passé. Cela nous laissait donc relativement peu de temps pour visiter, vu que nous nous étions donnés comme heure pour prendre le bus de retour, pour le côté argentin, 15h. Ici, pour se rendre aux chutes, nous sommes dans l'obligation de prendre un bus (environ 15-20 minutes). 
De ce côté-ci des chutes, la situation est différente. Le point de vue y est totalement différent. Le contexte aussi, contrairement à ce que nous avons eu l'occasion d'apercevoir et de côtoyer la veille, l'environnement est beaucoup moins sauvage, de plus c'est bien plus petit, il n'y a qu'un seul chemin à arpenter pour pouvoir admirer les chutes. Nous commençons donc le trajet, et bien qu'il soit court, ce qui s'offre à nous est époustouflant. En effet ce sont les mêmes chutes que la veille, mais vu d'un angle différent, et sincèrement nous pensons être complètement ailleurs. Ici aussi, il y a en permanence comme une vapeur d'eau au dessus de nos têtes, et parfois même il pleut, où plutôt on a l'impression qu'il pleut. Ainsi la végétation y est arrosée toute l'année et bien verdoyante.
Au début nous avions une vue d'ensemble des chutes, et plus nous nous rapprochons de la fin du parcours, nous en étions proches. Comparativement à la veille, nous avons pris un vrai bain. En marchant sur une passerelle, nous avons pu passer juste au dessus des chutes et nous faire éclabousser  à grandes eaux. A la fin du chemin, ce sont carrément des chutes d'eaux qui nous tombaient dessus.
Mais nous étions pressés, nous devons reprendre notre bus dans le sens du retour. Ce bus nous ne l'aurons jamais, nous l'avons raté pour quelques malheureuses minutes. Nous avons pris un colectivo, et pour passer à la douane nous avons dû nous arrêter, et attendre un autre colectivo. Bref, la galère !!! Mais nous y sommes arrivés tout de même, à temps pour pouvoir prendre notre car en début de soirée, en direction de Buenos Aires.
L'entrée du parc, côté brésilien 

Dans le bus qui nous mène aux chutes


La pose !!


La pose II !!


Y'a de l'humidité dans l'air


La douche !!

Prêt au décollage !!

A la fin, on pouvait presque toucher l'eau 
De retour à Puerto Iguazù, nous passons juste à l'hostel récupérer nos affaires et nous changer, puis c'est direction la gare routière, ensuite, vers les 19h, nous prenons notre car "cama" (couchette, ou soit disant...), et ce sera comme lors du trajet aller; c'est-à-dire des films, un dîner, du champagne (pour moi, les filles ne prendront rien) ou du whisky, et le lendemain matin un petit déjeuner. Après environs 17 heures de car, nous arrivons à Buenos aires, à la gare routière de Retiro, il est alors, environ midi et nous sommes le lundi 21 février. Ainsi s'achève notre court séjour (mais intense en émotion), dans le nord-est argentin (et même un tout petit peu brésilien).
Pour la petite histoire, Pascale a repris son avion pour le retour en région parisienne, le samedi qui a suivi (c'est à dire le 26 février), mettant fin ainsi à son séjour porteno, non sans avoir vécu d'autres aventures en compagnie de Cora (mais ça, vous avez dû le voir dans l'article précédant).
M.L.